Notes
des auteurs
;
Cette
page "Fonctionnement"
n'a pas la prétention, ni la
vocation d'être le recueil exhaustif des
choix technologiques employés
tout au long de la mise au point du
présent dispositif. Une page
seule n'y suffirait pas... En
revanche, elle offre une vision globale
du fonctionnement en faisant référence
au schéma structurel, si le besoin
s'en fait sentir...
Synoptique
de la carte fille trigger
:

Section
d'entrée analogique du
trigger :
Le
signal analogique est
appliqué au condensateur de liaison
C10
supprimant les éventuelles composantes
continues.
L'impédance élevée
de cet étage est fixée essentiellement par
la présence de la résistance
R15,
tandis que
C7
améliore
la transmission du signal aux fréquences
élevées. L'impédance
d'entrée élevée
du FET
Q5
permet de ne pas déformer le
signal présent sur la grille
tout en assurant
une très légère
amplification. Mais c'est le couple
Q4
et
Q6
qui
assurent la plus forte amplification.
Le condensateur C11
placé sur l'émetteur de
Q6
accroît l'amplification en petits signaux...

Etage
d'entrée
Voie A de la carte trigger. Le trigger Voie
B et l'entrée trigger externe
comportent exactement la même structure. (Schéma
complet PDF téléchargeable
à la page
[ Réalisation
]
).
Le
relevé d'oscillogrammes suivant
permet de visualiser un signal
arbitraire sinusoïdal
appliqué entre la masse
et
le condensateur C10
(trace supérieure) et la
résultante
disponible à la sortie
de
l'étage d'amplification sur le
point test TP6
(trace inférieure). On
remarque la nature quasi-rectangulaire
de la trace inférieure, bien
qu'elle nécessite encore des
améliorations sur la verticalité
des fronts...

Relevé
d'oscillogramme entre un signal d'entrée
arbitraire
sinusoïdal et
sa résultante présente
sur le point test
TP6.
Section
logique de mise en forme du signal :
Le
signal rectangulaire précédent
est débarrassé de sa composante
continue via C8.
Il est ensuite appliqué à
un inverseur de Schimtt U1:F
permettant d'assurer la mise en forme rectangulaire
à fronts
raides. Enfin, les
composants C9,
R14
et
D4
permettent
d'obtenir un signal impulsionnel dont
la durée du temps haut avoisine
les 0,4µs.
Ce signal impulsionnel est
destiné
à déclencher l'acquisition
des échantillons en
RAM au sein de l'oscilloscope
numérique.

Le
relevé d'oscillogrammes suivant
permet de visualiser le signal disponible
sur le point
test TP6 (trace supérieure) aux mêmes
instants relatifs que le signal impulsionnel
(trace inférieure) présent
en sortie
de l'inverseur de Schimtt U1:D.

Relevé
d'oscillogrammes entre le signal
rectangulaire disponible sur TP6
et
les impulsions présentent en
sortie de l'inverseur de Schimtt U1:D.
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